Total Energies Développement Régional et Provence Promotion défendent les vertus de l’attractivité industrielle

Soutien aux projets axés sur l’économie verte

TotalEnergies Développement Régional, engagé depuis 40 ans à soutenir le développement économique des territoires français, poursuit en 2021 ses actions motrices de l’attractivité industrielle et de la transition énergétique aux côtés de Provence Promotion.  Prêts à taux zéro, prises de participation, subventions, soutien à l’international, l’énergéticien multiplie les dispositifs en faveur de la création d’emplois et le soutien aux projets axés sur l’économie verte. Ce coup de pouce favorise le développement de nouveaux produits et services dans les Bouches-du-Rhône. Depuis les ambitions d’expansion du Groupe Charles André aux bioplastiques d’Eranova, en passant par la valorisation des résidus de soute d’Ecoslops…

Acteur de sa propre transformation industrielle en accompagnant la reconversion de la raffinerie TotalEnergies de La Mède en plate-forme multi énergies tournée, depuis 2019, vers les biocarburants, auxquels s’ajoutera demain la production d’hydrogène vert, TotalEnergies Développement Régional soutient en France environ 180 entreprises chaque année. « Nous finançons les projets à raison de plusieurs milliers d’euros par emploi créé. Nous accordons 7 M€ par an de prêts à taux zéro par an pour la création, la reprise et le développement des entreprises. Depuis 2020, nos efforts se sont aussi orientés vers les sociétés engagées dans la transition énergétique avec 12 sociétés accompagnées dans ce domaine dont une dizaine sur le pourtour de l’Étang de Berre », souligne Isabelle Patrier, directrice des relations France et du développement régional de TotalEnergies. 

Sur le site de Châteauneuf-Les-Martigues, Ecoslops a construit une unité de recyclage de résidus de fonds de cale des navires. Début juillet 2021, les premiers litres de carburants recyclés ont été produits avec une capacité pouvant aller jusqu’à 30.000 tonnes par an (Naphta, gasoil et fuel). Un projet vertueux d’économie circulaire dans lequel TotalEnergies croit fermement pour avoir pris 25% du capital. Au sud du terminal des Tellines, Eranova fabrique des bioplastiques à partir d’algues. « C’est une des filières très prometteuse », complète Isabelle Patrier. TotalEnergies a subventionné Eranova dans le cadre de la Convention Volontaire de Développement Économique et Social signée avec l’Etat, la Région Sud et la Métropole Aix-Marseille-Provence.

Incoplex Sud, un accélérateur vert régional

Avec le groupe Inco, la Région Sud et l'ADEME, TotalEnergies Développement régional soutient et accompagne la création d’Incoplex Sud, un accélérateur qui s’inscrit dans le cadre du Plan Climat de la Région Sud, une "COP d’avance", et vise à faire émerger les entreprises "vertes" de demain. En 2020 malgré la crise sanitaire, 14 start-ups ont suivi le programme jusqu’à son terme avec, à la clé, la création de 14 emplois. La 3e promotion a déjà été recrutée, pour un accompagnement qui débutera en septembre.

Hysilabs axée sur le transport de l’hydrogène, BioMiMetiC spécialisée dans la valorisation des déchets végétaux via la production de masse d’insectes, Green City Organisation engagée contre la pollution marine en piégeant les déchets ou Isowat qui intervient sur l’efficacité énergétique des bâtiments avec un isolant à base de carton recyclé, bénéficient des divers dispositifs de TotalEnergies Développement Régional. L’énergéticien accompagne les projets de construction de nouvelles unités industrielles d’entreprises.

« Nous travaillons depuis quatre ans avec Provence Promotion sur l’attractivité industrielle car nous nourrissons la même ambition de porter la création d’emplois », précise Isabelle Patrier citant l’exemple du projet de construction d’une usine de l’industriel chinois Quechen à Fos. Si la compagnie soutient les start-ups, elle accompagne également les projets d’envergure portés par des grands groupes à l’image de Charles André qui s’apprête à construire sur Fos-sur-Mer une plate-forme de préparation des véhicules. Un investissement de 30 M€ porteur de 90 emplois.